jeudi 21 mai 2009


Quelquefois, mes enfants qui habitent au Caire m'envoient une lettre. C'est rare et précieux. La missive met plusieurs semaines à arriver. Elle a plus de valeur qu'un email mais les enfants d'aujourd'hui ne le savent pas. Leur écriture est un prolongement physique, c'est comme si je pouvais les toucher.

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