
jeudi 21 mai 2009

Quelquefois, mes enfants qui habitent au Caire m'envoient une lettre. C'est rare et précieux. La missive met plusieurs semaines à arriver. Elle a plus de valeur qu'un email mais les enfants d'aujourd'hui ne le savent pas. Leur écriture est un prolongement physique, c'est comme si je pouvais les toucher.
Le roi est mort, vive le roi !
l'alcool est tellement partout...

En France, même les plus petits hameaux, les plus petits villages possèdent plusieurs cafés. En ville la sollicitation est grande, la solution passe par une mise à distance. A un moment, je ne vois plus les bouteilles et les verres, il ne reste que l'odeur et les souvenirs. A d'autres moments, je souhaiterais me relâcher et m'enivrer car c'est humain.
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